L’artiste américain Cleon Peterson présente sa première exposition solo à Paris. VICTORY se tient à la Galerie du Jour du 12 janvier au 18 février 2017.
Toujours fasciné par la violence, la brutalité et l’exercice du pouvoir entre les puissants et les marginaux ; l’artiste nous met face à une réalité qu’il a connu et qu’il observe encore. Son exposition résonne avec force au regard de l’actualité politique et sociétale aux Etats-Unis comme dans le monde.
«Cette exposition explore les triomphes hédonistes de ceux qui se reconnaissent comme victorieux dans le miroir du cours de l’histoire. Leur accession au plaisir dépend de leur projection de douleur sur le vaincu, ou l’expression courante du plaisir que l’on tire du malheur des autres. Alors que les vainqueurs font étalage de leur arrogance et remportent leurs trophées, les perdants sont considérés comme insignifiants et marginalisés. L’exposition VICTORY raconte la victoire d’un homme sur un autre, à quoi ressemble cette victoire, et les effets qu’elle exerce sur les perdants».
American artist Cleon Peterson presents his first solo exhibition in Paris. VICTORY is shown at the Galerie du Jour from January 12 to February 18, 2017.
Always fascinated by violence, brutality and the exercise of power between the powerful and the marginalized; the artist puts us in front of a reality he experienced and still observes. His exhibition resonates with force today in the light of the political and societal situation in the United States as in the world.
“This show explores the hedonistic triumphs of those who recognize themselves as victorious in the unfolding mirror of history. Their right to pleasure hinges on their projection of pain onto the unvictorious other. This often expresses itself in pleasure derived from the misfortune of the defeated. As the winners display their hubris and take their trophies the losers are left insignificant and marginalized. VICTORY explores one man’s victory over another, what that victory looks like and the result that victory has on the losers.”